La contamination la plus fréquente est le contact direct avec les animaux domestiques.
Ceux qui travaillent en extérieur (bucherons, agriculteurs) ont plus de « chances » de se contaminer que les cueilleurs de plantes comestibles.
Pour autant, il faut rester prudent (surtout dans l’est de la France), lorsque l’on cueille des fraises des bois, des pissenlits, ou autres récoltes à moins de 30cm du sol. Il est utile de savoir que ce sont les crottes de chiens ou de renards qui peuvent porter le parasite de l’échinocccose et non l’urine : donc ouvrir l’oeil est la 1ère des précautions !
Inutile de psychoter : manger une fraise ayant une crotte dessus ou à proximité ne fait pas envie 😉
J’en profite pour faire de la pub pour l’excellent magazine KAIZEN, qui traite, entre autres sujets, d’articles sur la nature et de recettes à base de produits de saison voir « sauvage » :

1ère publication 24 aout 2019