Le pourpier est présent : il faut en profiter ! C’est de loin ma verdure crue préférée de toute l’année 🙂 En particulier, en mélange avec une salade de tomate et une bonne vinaigrette.
Le pourpier est un des végétaux les plus riche en oméga 3. Il est riche en magnésium, potassium, fer, calcium, vitamines C et du groupe B. Il est diurétique et dépuratif. Il diminuerait le taux de mauvais cholestérol et l’hypertension, et lutterait contre l’anémie.
Certains en mangent les tiges, personnellement je les trouve un peu amer, je préfère ne garder que les feuilles. Comme beaucoup de plantes sauvages, le pourpier devient amer lorsqu’il est en fleur. Je ne cueille donc plus le pourpier d’un pied, dès qu’il y apparait les premières fleurs jaunes.
De gauche à droite :
– pourpier excellent, charnu, et juteux,
– renoué persicaire, à ajouter à un mesclun,
– fleurs de mauves, en déco d’un mesclun,
– jeunes feuilles de chénopodes blanc, à ajouter à un mesclun,
– pariétaire, à ajouter à un mesclun,
– achillée millefeuille, à ajouter à un mesclun,
– jeunes feuilles de violettes.
Pour avoir de jeunes feuilles de toutes ces plantes, il faut les couper régulièrement.
Le pourpier n’est plus appétant en fin de canicule : avant les orages je le coupe (et le donne à mes poules) pour favoriser une bonne repousse.
1ère publication juillet 2019