Les poireaux sauvages semblent apprécier ce printemps sec, qui fait suite à un hiver sec, et a une année 2022 sèche : je n’en ai jamais autant vu, ni vu d’aussi gros ! Certains ont un fut de presque 2cm de diamètre. Ci-dessus, mon couteau de cuisine vous donne une idée de la taille.
Je le trouve plus parfumé que ceux cultivés. De plus zéro euro et zéro travail de culture : il n’y a qu’à se baisser pour les ramasser !
Contrairement aux poireaux cultivés, je ne garde pas les feuilles des sauvages : trop coriaces à mon goût. Mais le fut, coupé en rondelles, dans une soupe sera délicieux. Mettez les à cuire avec les pommes de terre et les carottes, pas juste à la fin comme je vous le dis pour la plupart des autres « verdures sauvages » (ortie, violette, primevère, lampsane, alliaire, mauve, silène en ce moment. Chénopode blanc, amarante en été. Dont la cuisson est aussi rapide que celle d’une salade)